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27 juin 2013 14 h 36

André Boudreau se présente à la mairie de Percé

PERCÉ – André Boudreau, recruteur médical et fondateur et administrateur de la Vieille Usine de l’Anse-à-Beaufils, tente sa chance à la mairie de Percé.

«On est déjà sur une belle lancée, l’économie de Percé se porte un peu mieux qu’il y a quelques années.» affirme-t-il. M. Boudreau dit vouloir poursuivre le travail entamé par ses prédécesseurs.

Pour André Boudreau, un bon maire est un leader. Il estime pouvoir assumer ce rôle dans la communauté. «C’est quelqu’un qui rassemble autour d’une idée commune.» précise-t-il.

Rassembler

Selon André Boudreau, Percé a un problème majeur : le manque de population. «Il faut trouver un moyen d’attirer les gens ici, tant les citoyens que les touristes. C’est à ça que je veux travailler.» lance-t-il. Il compte travailler sur l’intérêt de ce milieu. Il estime que son expérience en recrutement médicale peut lui servir à cette fin.

Place au développement

Selon M. Boudreau, il y a une place pour le développement touristique à Percé. «On peut faire tellement plus.» dit-il. Le Géoparc s’inscrit dans les démarches qu’il souhaite encourager. «On a besoin de plusieurs projets comme ça et il y a de la place pour tellement d’idées.» affirme-t-il.

Chacun son rôle

Pour André Boudreau, le travail d’équipe avec le conseil et les employés municipaux est essentiel : «Je ne sais pas comment ça marche, moi, un égout. Mais je sais comment fonctionnent des formulaires de subvention. Je peux accompagner les employés municipaux dans les démarches à faire.»

En ce qui concerne la participation citoyenne, il affirme que le conseil élu représente la majorité. C’est donc son rôle d’établir les lignes directrices des projets. Une fois ces lignes établies, il estime que la consultation est la meilleure façon de bonifier un projet.

Infrastructures

Bien qu’il compte poursuivre le travail amorcé pour le maintien du quai et de la promenade, il estime que la population est trop petite pour assumer de telles infrastructures. «On a hérité d’un bien mauvais cadeau.» dit-il.

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